Postulat du Cycle Torique Universel Une nouvelle approche de la dynamique cosmologique

Note de Présentation :

Nous avons l’honneur de partager avec notre communauté scientifique et intellectuelle la contribution théorique de Djaffar Riadh MELLAH, concepteur du Postulat du Cycle Torique Universel (CTU). Cette proposition audacieuse ouvre un nouveau champ d'exploration à la croisée de la cosmologie contemporaine, de la relativité générale et de la mécanique quantique.

Dans ce second texte, l’auteur approfondit son hypothèse initiale en développant une modélisation mathématique unificatrice entre les deux grands piliers de la physique moderne. À partir de la structure d’un univers à topologie torique, il expose les mécanismes d’un recyclage cosmique fondé sur une singularité ondulatoire, servant de nœud de transition énergétique.

L’apport majeur de cette contribution réside dans la formule de réunification qu’il propose, articulant les équations d’Einstein avec les principes de la mécanique quantique par l’introduction de la fonction d’onde . Cette formulation donne lieu à une lecture dynamique et cyclique du Big Bang, des trous noirs, et de l’expansion accélérée de l’univers.

En cohérence avec l’esprit de la Natiométrie, qui cherche à modéliser la vie des nations à travers des dynamiques complexes, cette proposition élargit le cadre scientifique du projet en y intégrant une métaphysique du cosmos fondée sur la régénération énergétique, l'information ondulatoire et la cyclicité.

Nous saluons ici une pensée libre, rigoureuse et imaginative, qui mérite d’être confrontée aux autres travaux de la communauté scientifique, tant pour la richesse de ses intuitions que pour les perspectives qu’elle ouvre dans la recherche d’une théorie unifiée.

Voici le texte intégrale de l'auteur :

"Postulat du Cycle Torique Universel Une nouvelle approche de la dynamique cosmologique".

Sommaire :

Introduction :

Contexte et motivation du postulat
Présentation générale de l’hypothèse

Structure du modèle cosmologique :

Le Big Bang comme un trou noir
La singularité centrale et son rôle
La forme torique de l’Univers

Dynamique matière-énergie et recyclage cosmique :

Conversion des trous noirs en onde
Le retour cyclique de la matière
Interaction entre la singularité et l’expansion accélérée

La singularité comme une onde :

Nature de l’onde $Ψ(S)\Psi(S)$
Son rôle dans le cycle cosmique
Interaction avec la relativité générale

Tests expérimentaux et validation :

Observation des ondes gravitationnelles
Analyse du fond diffus cosmologique
Simulation numérique du modèle

Implications et nouvelles perspectives :

Impact sur la cosmologie moderne
Remise en question des modèles standards
Axes futurs de recherche

Conclusion

NB : Modélisation mathématique du postulat

1. Introduction :

L’Univers est souvent décrit comme un espace en expansion depuis une singularité initiale, le Big Bang. Les modèles actuels supposent que cette singularité était un point infiniment dense où les lois de la physique cessent d’être valides. Cependant, cette approche laisse plusieurs questions ouvertes :

Pourquoi l’expansion de l’Univers s’accélère-t-elle ?
Existe-t-il une connexion entre les trous noirs et le Big Bang ?
Quelle est la forme globale de l’Univers ?

Le Postulat du Cycle Torique Universel propose une nouvelle explication en intégrant :

Une singularité unique, source de toute la matière, fonctionnant comme un volcan cosmique.
Un méga trou noir absorbant la matière et alimentant la singularité.
Un univers torique, où la matière revient cycliquement à son point d’origine.

Cette hypothèse ouvre une perspective unifiée sur la structure et la dynamique de l’Univers.

2. Structure du modèle cosmologique :

2.1. Le Big Bang comme un trou noir :

Contrairement à l’idée d’une explosion soudaine, le Big Bang pourrait être un processus continu où la matière est expulsée progressivement.
La singularité cosmologique fonctionnerait comme un jet de matière, similaire à un trou noir inversé.
La première particule émise du Big Bang correspondrait à la dernière absorbée par le méga trou noir.

2.2. La singularité centrale et son rôle

Il n’existe qu’une singularité unique dans l’Univers, qui agit comme un point de conversion de la matière absorbée en nouvelle matière expulsée.
Tous les petits trous noirs finissent en une onde finale, qui alimente cette singularité.
Ce processus serait à l’origine du recyclage cosmique, régissant l’équilibre matière-énergie de l’Univers.

2.3. La forme torique de l’Univers :

Si l’Univers suit une forme torique, cela signifie que :

La matière suit une trajectoire courbée, revenant à son origine après un cycle complet.
La structure de l’espace-temps permet une connexion continue entre les trous noirs et la singularité centrale.
Cette géométrie torique pourrait expliquer l’expansion accélérée et résoudre certaines anomalies cosmologiques.

3. Dynamique matière-énergie et recyclage cosmique :

3.1. Conversion des trous noirs en onde :

Lorsque les trous noirs classiques atteignent un état critique, ils ne disparaissent pas totalement mais deviennent des ondes cosmologiques qui convergent vers la singularité centrale.

3.2. Retour cyclique de la matière :

La matière absorbée par le méga trou noir est réémise par la singularité sous forme de nouvelle matière.
Ce processus pourrait expliquer la cohérence des structures galactiques et la conservation d’information cosmique.

3.3. Interaction entre la singularité et l’expansion accélérée :

L’accélération de l’expansion serait due à l’influence de cette singularité unique et de l’énergie libérée par la conversion matière-onde.
L’énergie noire pourrait être une conséquence du cycle torique, plutôt qu’une force mystérieuse indépendante.

4. La singularité comme une onde :

4.1. Nature ondulatoire de la singularité :

Au lieu d’être un point infiniment dense, la singularité pourrait être une fluctuation dynamique, une onde cosmique fondamentale.

4.2. Modélisation de

La singularité peut être décrite par une équation d’onde :

représente l’état ondulatoire de la singularité.
est la masse des trous noirs absorbés.
correspond aux fréquences de conversion matière-onde.

4.3. Interactions avec la relativité générale :

Nous intégrons cette dynamique aux équations d’Einstein :

où est modifié pour inclure la contribution de :

5. Tests expérimentaux et validation :

5.1. Observation des ondes gravitationnelles :

Si la singularité est une onde, elle pourrait être détectable sous forme d’ondes gravitationnelles spécifiques.
Les détecteurs comme LIGO et Virgo pourraient identifier ces signatures.

5.2. Analyse du fond diffus cosmologique :

Des anomalies dans le fond cosmologique pourraient révéler l’influence de .
L’étude des fluctuations thermiques pourrait confirmer la dynamique ondulatoire du Big Bang.

5.3. Simulation numérique du modèle :

Une modélisation basée sur la relativité générale et la mécanique quantique pourrait tester l’évolution de cette singularité ondulatoire et son rôle dans l’expansion accélérée.

PS :

: la constante de Planck, qui relie l’énergie et la fréquence en mécanique quantique.
: la fonction d’onde, représentant l’état quantique du système ou de la singularité.
: la vitesse de la lumière au carré, qui intervient dans la relation entre énergie et masse.

Formule de réunification entre la physique quantique et la physique classique

Légendes des paramètres

: énergie totale du système, englobant les contributions quantiques et relativistes.
- : terme quantique, reliant la fréquence quantique infinie à proximité de la singularité et la relation masse-énergie.
- : tenseur énergie-impulsion, décrivant la densité de matière et d’énergie sous l’effet de la gravitation.
- : tenseur de courbure d’Einstein, définissant la géométrie de l’espace-temps.
- : terme lié à la constante cosmologique, influençant l’expansion torique et la réorganisation cyclique de l’univers.

Interprétation physique

Cette équation unifie la mécanique quantique et la relativité générale, en intégrant :
- La fréquence infinie des particules proches de la singularité.
- La conversion onde-particule via la constante de Planck.
- La courbure relativiste de l’espace-temps et son interaction avec le recyclage cosmique.

Cela décrit un univers torique en régénération, où la singularité agit comme un nœud de transition énergétique, sans masse propre mais réorganisant les flux quantiques et gravitationnels.

Formule d’équivalence finale :