Chaque époque a ses champs de bataille...

Hier, c’étaient les mers, les plaines et les airs.
Aujourd’hui, les lignes de front se déplacent ailleurs : données, intelligences, récits, normes, climats…

👉À partir de ce mois-ci, Geopoliteck consacre un cycle mensuel aux guerres du futur.
Chaque mois = un thème.
Chaque semaine dédiée = 6 posts, pour en explorer toutes les dimensions :
- Stratégiques
- Géopolitiques
- Technologiques
- Prospectives

⚔️Septembre a ouvert le bal avec La guerre des données, et les échanges ont montré à quel point ce sujet touche à la souveraineté et à la sécurité de nos sociétés.
📌Dès lundi, place au Cycle 2 : La guerre des intelligences.
➡️Augmentation cognitive, fuite des cerveaux, fracture entre “augmentés” et “non-augmentés”, intelligence collective…
➡️Avec en fil rouge les scénarios prospectifs de la Red Team Défense.

🧭Objectif : comprendre comment, derrière chaque technologie, c’est l’avenir même de nos sociétés qui se joue.

📣Question ouverte à la communauté : selon vous, quelle “guerre du futur” sera la plus décisive ? Données ? Intelligences ? Énergie ? Autre ?

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La loi sur l’évolution des nations : une découverte scientifique inédite en sciences humaines et sociales

L’histoire des sciences nous a appris que chaque discipline franchit un seuil décisif lorsqu’elle accède au statut de science véritable. La physique a connu ce passage avec Newton et la loi de la gravitation universelle, la biologie avec Darwin et la théorie de l’évolution. Ces jalons ne furent pas de simples théories interprétatives : ils constituèrent des découvertes scientifiques, c’est-à-dire la mise au jour de lois de la nature, universelles et indépendantes des idéologies.

À l’inverse, les sciences humaines et sociales ont longtemps oscillé entre discours interprétatif et élaboration de paradigmes, sans parvenir à dégager des lois comparables en universalité et en rigueur. Marx, Durkheim, Weber ou Bourdieu ont produit des systèmes puissants d’analyse, mais ceux-ci restaient inscrits dans des horizons théoriques, idéologiques ou culturels. De ce fait, on n’a jamais véritablement parlé de "découverte" dans ce champ, mais plutôt de concepts, de modèles ou de traditions de pensée.

C’est précisément en ce point que la loi sur l’évolution des nations, formulée dans le cadre de notre programme de recherche en Natiométrie, marque une rupture. Pour la première fois, il est possible de :

- Identifier des régularités invariantes dans le développement et le cycle de vie des nations, comparables aux lois de la nature observées en physique ou en biologie.

- Formaliser ces régularités dans un langage rigoureux, combinant mathématique, physique des systèmes dynamiques et modélisation algorithmique.

- Produire une capacité prédictive : la loi n’explique pas seulement le passé, elle permet d’anticiper des évolutions à venir, ouvrant la voie à une véritable ingénierie du phénomène national.

En cela, cette loi constitue un cas inédit : elle élève les sciences humaines et sociales au rang des sciences exactes, en leur donnant une loi universelle, objectivable et vérifiable. Elle ne relève plus du champ métaphysique ni idéologique, mais bien du champ scientifique au sens strict.

Ainsi, on peut affirmer que la loi sur l’évolution des nations représente une découverte scientifique à part entière, inaugurant une nouvelle étape dans la maturation des sciences humaines et sociales. Elle opère un basculement comparable, toutes proportions gardées, à celui que Darwin a opéré en biologie : le passage d’un savoir fragmentaire et interprétatif à une véritable science des régularités universelles.

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Une architecture pour la mesure universelle des nations.
La Natiométrie a pour vocation de mesurer, modéliser et harmoniser les dynamiques nationales et civilisationnelles.

Pour garantir la fiabilité scientifique et l’unicité de la mesure, elle repose sur un système d’étalonnage global qui associe :

- La mobilité et la résilience maritime,
- La stabilité institutionnelle terrestre,
- La capillarité planétaire des instruments nationaux.

Ce dispositif hybride associe désormais :

- L’Œil Océanique Natiométrique,
- La Station Étalon de Genève,
- Le Réseau des Natiomètres Nationaux.

Il constitue la colonne vertébrale scientifique du programme mondial de la Société Internationale de Natiométrie (SIN).

Ce système hybride mer/terre est unique au monde.

A propos

La natiomètrie, comme son nom le suggère, fait référence à la métrique du phénomène nation, c'est à dire la mesure ou la quantification du phénomène nation dans tous ses états, dans un but d'établir un diagnostic en cas d'anomalies ou de déterminer un régime pour améliorer la performance de l'ensemble du "système nation".