L’histoire des relations internationales est jalonnée de moments charnières où les nations redéfinissent le monde à la lumière de crises planétaires. Yalta fut l’un de ces instants.
En février 1945, au crépuscule de la Seconde Guerre mondiale, les puissances victorieuses tracèrent les contours d’un nouvel ordre mondial, scellant la bipolarité et jetant les bases de la guerre froide. Cet ordre, fondé sur la puissance militaire et la logique d’influence, a structuré la planète pendant près d’un demi-siècle.
Mais l’humanité du XXIᵉ siècle se trouve à un autre carrefour. Les défis globaux – écologiques, technologiques, civilisationnels – ne peuvent être résolus par la force ni par la domination. L’heure n’est plus à la division du monde, mais à sa compréhension commune.
C’est dans ce contexte que s’inscrit l’avènement de la Flotte Internationale de Natiométrie, véritable Yalta pacifique, non pas pour partager la Terre, mais pour l’observer, la mesurer et la réconcilier.
Lire l'article ici : https://spacesortium.com/read-blog?id=763
