Introduction :
Au moment où les crises économiques, politiques et environnementales mettent à l’épreuve la cohésion des nations, une question s’impose : comment penser la stabilité du monde sans comprendre la dynamique profonde des peuples et des sociétés ?
C’est à cette question que la Natiométrie – science émergente fondée sur la mesure, l’analyse et la régulation des systèmes nationaux – apporte une réponse inédite.
Mais pour traduire cette vision scientifique en action concrète, il fallait un instrument économique à la hauteur de son ambition : un mécanisme capable d’unir la rigueur financière, la pensée systémique et l’éthique de la coopération internationale.
C’est dans cet esprit qu’est né le Fonds International de Dotation pour la Natiométrie (FIDN), premier dispositif mondial de financement dédié à la recherche, à l’innovation et à la diplomatie natiométrique.
I. Un instrument financier au service d’une science nouvelle :
Le Fonds International de Dotation pour la Natiométrie n’est pas un fonds d’investissement classique.
Il se définit avant tout comme un organe d’accompagnement de la civilisation humaine, conçu pour soutenir la transition vers un monde fondé sur la connaissance, la stabilité et la coopération.
Créé sous l’égide de la Société Internationale de Natiométrie (SIN) et domicilié à Genève, le Fonds repose sur trois missions essentielles :
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Soutenir la recherche natiométrique : financer les travaux scientifiques, technologiques et philosophiques relatifs à la mesure de la santé des nations et à la régulation de leurs interactions.
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Promouvoir la stabilité systémique : investir dans des projets à impact natiométrique – économiques, éducatifs, environnementaux ou diplomatiques – favorisant la cohésion et la durabilité.
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Constituer une réserve stratégique de connaissance : transformer le capital financier en capital civilisationnel, en soutenant la diffusion mondiale des savoirs natiométriques.
Ainsi, le FIDN unit le monde des idées et celui des capitaux.
Là où la finance traditionnelle cherche le profit, la finance natiométrique recherche l’équilibre et la durabilité – selon la loi fondamentale du Natiomètre, qui postule que chaque nation, comme tout système vivant, tend vers un état d’harmonie dynamique.
II. L’originalité du Fonds : la Natiométrie comme boussole économique :
L’originalité du Fonds réside dans son principe d’évaluation scientifique.
Contrairement aux fonds philanthropiques ordinaires, le FIDN s’appuie sur le Natiomètre – instrument de diagnostic et de mesure systémique – pour analyser l’impact réel des investissements.
Chaque projet est évalué selon une grille de cohérence natiométrique :
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sa contribution à la cohésion nationale ;
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son potentiel d’innovation scientifique et technologique ;
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son effet sur la durabilité écologique et sociale ;
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son rôle dans le renforcement de la souveraineté des peuples ;
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sa capacité à maintenir l’équilibre systémique global.
Ce cadre méthodologique, inspiré des principes de la physique des systèmes et de la théorie quantique du champ psychique, confère au Fonds une dimension unique :
celle d’une finance scientifique, orientée par la connaissance, et non par la spéculation.
Ainsi, le FIDN devient une boussole économique pour le XXIᵉ siècle : il mesure, oriente et harmonise les flux de capitaux selon leur valeur systémique, éthique et civilisationnelle.
III. Une philosophie humaniste et civilisationnelle :
Au-delà de la technique financière, le FIDN repose sur une philosophie de la responsabilité collective.
Son existence découle d’un principe fondateur : l’humanité ne peut être durable que si les nations sont stables, et les nations ne peuvent être stables que si la science éclaire leur évolution.
Cette philosophie s’articule autour de trois axes :
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Science – la vérité comme fondement de la décision publique et économique ;
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Technologie – l’instrument comme prolongement de la conscience humaine ;
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Diplomatie – la coopération comme moteur de la paix durable.
Dans cet esprit, le Fonds se veut neutre, transparent et universel.
Il transcende les frontières politiques et les appartenances culturelles, pour s’inscrire dans une démarche de connaissance partagée.
Il ne finance pas les idéologies : il finance l’intelligence collective.
En cela, le FIDN rejoint la tradition humaniste de Genève – cité des organisations internationales et des médiations de paix – tout en l’enrichissant d’une science nouvelle de la civilisation.
IV. Une structure de gouvernance éthique et exemplaire :
Le FIDN est administré selon un modèle de gouvernance collégiale.
Son Conseil de Dotation est composé de représentants de la Société Internationale de Natiométrie, d’experts scientifiques, de personnalités du monde financier et diplomatique, et de membres indépendants issus de la société civile.
Les décisions d’investissement sont validées à partir d’un comité scientifique et éthique, garantissant la conformité des projets à la Charte d’investissement natiométrique.
Les fonds sont hébergés sous juridiction suisse, audités annuellement et régis par la transparence totale.
Cette structure offre une triple garantie :
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légale, par le respect des normes suisses et internationales ;
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éthique, par l’alignement sur les valeurs universelles de paix et de durabilité ;
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scientifique, par l’usage du Natiomètre comme outil d’évaluation systémique.
Ainsi, le FIDN se distingue par une gouvernance inspirée non seulement de la rigueur helvétique, mais aussi de la rationalité natiométrique – où chaque décision est un acte mesuré, proportionné, et orienté vers l’équilibre.
V. L’avenir : vers une finance de civilisation :
Le Fonds International de Dotation pour la Natiométrie n’est pas une fin en soi : c’est le prototype d’un nouveau modèle économique mondial, fondé sur la convergence de la science et de la conscience.
Son avenir s’inscrit dans trois horizons :
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Institutionnel : devenir une référence internationale pour le financement des politiques publiques et des projets à impact natiométrique.
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Diplomatique : servir de plateforme de coopération entre États, organisations et acteurs privés dans la mise en œuvre d’une stabilité globale.
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Philosophique : participer à l’émergence d’une économie consciente – une économie qui ne mesure plus seulement la croissance, mais l’évolution civilisationnelle.
En soutenant la recherche, la technologie, l’éducation, la culture et la santé selon des critères natiométriques, le Fonds vise à construire un écosystème de stabilité globale – un espace où la science et la finance deviennent des instruments au service du bien commun.
Conclusion :
Le Fonds International de Dotation pour la Natiométrie est bien plus qu’un organisme financier : c’est le cœur économique d’une science de la civilisation.
Il incarne la conviction que la paix et la prospérité ne peuvent être durables que si elles reposent sur la connaissance, la mesure et la coopération.
Dans un monde fragmenté, il propose une autre voie : celle de la finance intelligible, gouvernée par la raison et la conscience.
Son originalité tient dans cette alliance entre la rigueur scientifique, l’éthique universelle et la sagesse économique.
Ainsi, à l’image du Natiomètre qui mesure les équilibres invisibles des nations, le FIDN mesure et oriente les flux invisibles du capital – pour que la richesse devienne un vecteur d’harmonie, et non de division.
