Introduction
Dans un monde où les conflits, les tensions et les menaces semblent se multiplier, il devient urgent de comprendre d’où provient réellement ce climat de peur et d’instabilité. Les guerres, les crises économiques et les désastres environnementaux ne sont pas toujours le fruit de nécessités objectives, mais souvent le résultat de l’immaturité et de l’infantilisme de l’élite mondiale. Ces dirigeants, en jouant avec le pouvoir comme avec des jouets, exposent les peuples à des risques qu’ils ne sauraient assumer eux-mêmes. Aujourd’hui, il est vital que les peuples prennent conscience de cette réalité, refusent de devenir complices de ces compétitions irresponsables, et s’approprient les outils scientifiques et technologiques qui leur permettront de bâtir un avenir d’abondance et de sécurité.
I. L’infantilisme de l’élite mondiale et ses conséquences :
L’élite mondiale agit souvent comme un enfant qui joue avec le feu :
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Elle privilégie le prestige, la course aux armements et l’affrontement plutôt que la raison et la coopération.
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Ses décisions irréfléchies entraînent des guerres, des crises humanitaires, et des catastrophes économiques dans de nombreuses régions du globe.
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Les peuples en subissent les conséquences directes, tandis que les dirigeants s’abritent derrière la légitimité du pouvoir ou la peur de l’autre.
Ce comportement infantile n’est pas une fatalité ; il est un choix politique irresponsable, dont l’issue dramatique est supportée par ceux qui n’ont jamais participé à ce jeu. Les peuples, s’ils restent passifs, deviennent complices involontaires de cette folie.
II. L’avertissement aux peuples : ne pas payer pour l’enfance des puissants.
Peuples du monde, il est essentiel de comprendre : la guerre, la misère et la rareté ne sont plus des fatalités. Elles sont exacerbées par la folie compétitive de dirigeants immatures. Refuser d’être complices de cette dynamique implique :
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De questionner la rhétorique de la peur diffusée par les élites.
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D'exiger transparence, responsabilité et maturité de ceux qui gouvernent.
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D'agir collectivement pour que la coopération et l’intérêt général remplacent la compétition destructrice.
En d’autres termes, les peuples doivent devenir des gardiens actifs de la raison et de la prudence, empêchant que l’infantilisme des puissants ne transforme le monde en champ de ruines.
III. La natiométrie : mesurer, comprendre et réguler le monde de l’abondance.
La bonne nouvelle est que notre civilisation dispose aujourd’hui d’outils scientifiques et technologiques capables de mettre fin aux logiques de rareté à l’origine des conflits. La natiométrie, discipline novatrice, et le Natiomètre, son instrument étalon, offrent une boussole objective pour évaluer et réguler les dynamiques nationales et globales.
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Fin de l’ère de la rareté : grâce aux progrès scientifiques, l’abondance matérielle et informationnelle est désormais possible. Les crises artificiellement exacerbées par la compétition deviennent évitables.
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Équilibre des nations : le Natiomètre permet de mettre la pendule de notre civilisation à l’heure de l’abondance, en anticipant les crises et en optimisant les décisions collectives.
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Pouvoir des peuples : en s’appropriant ces outils, les sociétés peuvent garantir que les ressources et le progrès servent le bien commun, et non les ambitions infantiles des puissants.
Ainsi, la natiométrie transforme la connaissance en force d’action rationnelle, offrant aux peuples un moyen de reprendre leur destin en main.
Conclusion :
Peuples du monde, l’heure n’est plus à la passivité : l’infantilisme de l’élite mondiale menace notre avenir, et seule notre vigilance peut y mettre fin. Il est temps de refuser d’être complices de la compétition folle et destructrice, de revendiquer transparence, responsabilité et maturité. Et surtout, il est temps d’embrasser les outils de la natiométrie et du natiomètre, qui permettent de transformer l’abondance scientifique et technologique en un avenir sûr et prospère.
L’ère de la rareté est révolue ; l’ère de l’abondance peut commencer, mais elle ne se construira que si les peuples prennent conscience de leur rôle et refusent de laisser l’infantilisme des puissants dicter le destin de l’humanité.