À l’heure où le monde semble osciller entre chaos et pilotage automatique, la Natiométrie offre une troisième voie : celle de la maîtrise lucide et partagée. L’agentivité en constitue la clef de voûte, car elle rappelle que ni les nations ni les individus ne sont condamnés à subir les courants, mais qu’ils peuvent, ensemble, reprendre le gouvernail de l’Histoire.

Par ce geste, ils ne se contentent pas de réagir aux crises ; ils instaurent un nouvel horizon, où la science, la technologie et la diplomatie s’articulent pour libérer les puissances créatrices de l’humanité. L’agentivité, ainsi comprise, n’est plus une simple vertu : elle devient la condition de toute souveraineté, de toute renaissance, et le moteur même du grand programme de la Natiométrie.

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